C'est un grand plaisir de pouvoir lire le dernier tome de la saga Les Temps d'une Vie. La couverture, comme pour les autres, est juste sublime. Elle représente parfaitement Poséidon et je l'avoue, ce serait peut-être ma couverture préférée avec celle d'Arès (j'ai un faible pour les orques). Gros coup de cœur également pour ce tome.On fait la connaissance de Terry, jeune femme qui travaille dans un centre pour animaux marins. Elle vient de perdre sa mère, Katra, qui était en réalité une sirène mais ça elle ne le sait pas encore. Elle mène une vie normale, jusqu'à ce qu'elle croise Phil à l'enterrement de sa mère. Il prétend être un ami de longue date de la sirène, mais il se révèlera tout autre : en réalité il est Poséidon.
Au début, elle ne le croit pas une seconde quand il dit la vérité. Elle le laisse néanmoins l'aider à faire le tri dans les affaires sa mère. Elle réalise la vérité quand des hommes tentent de la kidnapper et que Poséidon la sauve en utilisant ses pouvoirs. C'est un choc pour elle et elle doit bien se faire une raison : les dieux de l'Olympe existent bel et bien. Et quand Poséidon veut la mettre en sécurité le temps de trouver une solution, il ne fait pas les choses à moitié : il la transporte sur l'Atlantide et Terry va alors faire plus ample connaissance à la fois avec ses origines mais aussi avec le Roi de la Mer pour qui elle ressent une grande attirance.Je brûlais d'impatience de retrouver Poséidon, avec son humour tellement drôle. Il fait partie de l'un de mes personnages dieux préférés avec Hadès et Arès. Il est attachant, et puis on voit réellement qu'il a souffert de bannir de Katra dans le prologue. Toujours aussi charmant et séduisant, il donnerait vraiment sa vie pour la jeune femme qu'il prend sous son aile, lui faire découvrir son univers etc.Terry aussi est hyper attachante. On ressent bien sa peine d'avoir perdu sa mère et puis elle est vraiment attachée au fait de trouver la vraie raison de pouvoir sa mère est morte. Elle était sa seule famille et maintenant elle n'a plus que Poséidon, auquel elle doit faire confiance presque aveuglément. Et quelle joie ça a été de recroiser Kayla, Sam, Hadès, Perséphone, Arès et Nina, même brièvement. Bon peut-être un peu Zeus aussi parce qu'il ne s'est pas montré très méchant dans ce tome.C'est une saga qui malheureusement doit se terminer, toutes les bonnes choses ont une fin et de toute manière, quand il s'agit des livres, on peut les relire quand on le souhaite donc je n'hésiterai jamais à replonger dans cet univers mythologique que j'aime tant.
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